Voici un petit semainier (comme ça je n’écrirai pas planning, enfin si, ça y est, mais pour ne plus le faire), avec les travaux à faire pour la semaine du 30 mars.

Ces devoirs portent sur le sonnet, une dernière fois, et je complèterai peut-être par des travaux sur l'étude de la langue.


Semainier et travaux préparatoires

Mardi à 10h, groupe 2

Ayez avec vous le sonnet choisi pour le cours précédent, et vos notes. Notre temps d’échange prendra la même forme que précédemment, à une nuance près : nous lirons un premier sonnet en entier, mais par la suite je vous demanderai de ne lire qu’une strophe, ou que quatre vers maximum (qui peuvent être extraits de strophes différentes), ceci afin que vous soyez plus nombreux à pouvoir intervenir.

À préparer : le choix de ces quelques vers, qui vous paraissent particulièrement intéressants pour le sens du sonnet retenu.


Mercredi à 11h15, groupe 1

Idem : ayez avec vous le sonnet choisi pour le cours précédent, et vos notes. Notre temps d’échange prendra la même forme que précédemment, à une nuance près : nous lirons un premier sonnet en entier, mais par la suite je vous demanderai de ne lire qu’une strophe, ou que quatre vers maximum (qui peuvent être extraits de strophes différentes), ceci afin que vous soyez plus nombreux à pouvoir intervenir.

À préparer : le choix de ces quelques vers, qui vous paraissent particulièrement intéressants pour le sens du sonnet retenu.


Jeudi à 14h30, groupe 1

Notre dernier cours sera consacré à la lecture d’un poème de Du Bellay, poète de la Pléiade (XVIe siècle), l’un des auteurs qui a contribué à donner au sonnet français ses lettres de noblesse. Ce poème peut paraître étonnant, car c’est la réécriture d’un texte très ancien, écrit par le poète latin Ovide.

On a donc affaire à une forme poétique créée en Italie au XIVe siècle, importée par la suite en France, très utilisée par les poètes de la Pléiade au XVIe siècle, et qui a permis, comme ici, de réécrire des textes de l’Antiquité.

À préparer pour situer le contexte de création de ce sonnet :

  1. Pour vous-mêmes, rédigez quelques lignes synthétiques sur le mouvement de la Pléiade et sur le poète du Bellay, après avoir effectué et croisé vos recherches.
  2. Il n’était pas évident, au XVIe siècle, que la langue française puisse être mise au service de la poésie. Le latin demeurait la langue des lettrés. Pour comprendre comment les écrivains de ce temps, et singulièrement les poètes du groupe de la Pléiade, promeuvent l’emploi du français en poésie, lisez les deux premiers textes proposés dans le document intitulé “Du Bellay lecteur d’Ovide”, de Pelletier du Mans et de Du Bellay (pages 1 et 2). Ce sont des textes assez ardus. L’essentiel de ce qui nous intéresse figure aux vers 1 à 16 pour le poème de Pelletier du Mans, et dans les toutes premières lignes du manifeste écrit par Du Bellay (l. 1 à 5).
  3. Pour mesurer combien les œuvres de l’Antiquité étaient révérées par les poètes de ce temps, lisez le sonnet dans lequel Ronsard dit son amour pour L’Iliade (page 3).
  4. Vous serez ainsi mieux à même de comprendre, enfin, le rapport qu’entretient Du Bellay avec le poète Ovide. Lisez le texte d’Ovide page 4, puis le sonnet du poète français qui réécrit ce texte, page 5.

Vendredi à 11h15, groupe 2

Notre dernier cours sera consacré à la lecture d’un poème de Du Bellay, poète de la Pléiade (XVIe siècle), l’un des auteurs qui a contribué à donner au sonnet français ses lettres de noblesse. Ce poème peut paraître étonnant, car c’est la réécriture d’un texte très ancien, écrit par le poète latin Ovide.

On a donc affaire à une forme poétique créée en Italie au XIVe siècle, importée par la suite en France, très utilisée par les poètes de la Pléiade au XVIe siècle, et qui a permis, comme ici, de réécrire des textes de l’Antiquité.

À préparer pour situer le contexte de création de ce sonnet :

  1. Pour vous-mêmes, rédigez quelques lignes synthétiques sur le mouvement de la Pléiade et sur le poète du Bellay, après avoir effectué et croisé vos recherches.
  2. Il n’était pas évident, au XVIe siècle, que la langue française puisse être mise au service de la poésie. Le latin demeurait la langue des lettrés. Pour comprendre comment les écrivains de ce temps, et singulièrement les poètes du groupe de la Pléiade, promeuvent l’emploi du français en poésie, lisez les deux premiers textes proposés dans le document intitulé “Du Bellay lecteur d’Ovide”, de Pelletier du Mans et de Du Bellay (pages 1 et 2). Ce sont des textes assez ardus. L’essentiel de ce qui nous intéresse figure aux vers 1 à 16 pour le poème de Pelletier du Mans, et dans les toutes premières lignes du manifeste écrit par Du Bellay (l. 1 à 5).
  3. Pour mesurer combien les œuvres de l’Antiquité étaient révérées par les poètes de ce temps, lisez le sonnet dans lequel Ronsard dit son amour pour L’Iliade (page 3).
  4. Vous serez ainsi mieux à même de comprendre, enfin, le rapport qu’entretient Du Bellay avec le poète Ovide. Lisez le texte d’Ovide page 4, puis le sonnet du poète français qui réécrit ce texte, page 5.

Compléments possibles à venir sur l'étude de la langue

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